HIER, J’AI VU EN AVANT-PREMIÈRE LE FILM DE CÉLINE SCIAMMA, PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU.
Sur une video relatant le festival de Cannes, le commentaire:
Naissance d’une passion sur une île bretonne.
C’est là que je vois que nous les spectateurs, nous avons le pouvoir de nous approprier le film, et nous voyons alors un autre film, le nôtre.
La question posée par l’histoire est la suivante et elle est éternelle :
Une jeune femme en 1770 peut-elle choisir son destin, sa vie ?
La soeur de l’héroïne a choisi de disparaître pour échapper au mariage forcé, elle s’est tuée en se jetant d’une falaise, que va faire Héloïse ?
L’histoire oscille, la tension monte. À plusieurs reprises, on pense qu’elle va choisir la mort, comme seule et dernière expression de sa liberté… Mais, je vous laisse découvrir son choix final…
PORTRAIT DE LA JEUNE FILLE EN FEU
C’est un très beau film, très réussi sur le plan esthétique mais qu’on ne peut pas résumer à une histoire d’amour.